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"La foi et l'amour..."
"Vous pouvez éblouir les humains avec vos connaissances, cela ne suffira pas pour les transformer. Les connaissances sont évidemment des moyens puissants : elles éclairent les intelligences et fournissent de bons arguments, mais rien de plus. Les gens auront beau avoir été informés, ils auront beau avoir compris, il n’est pas du tout sûr qu’ils bougent. Pour les entraîner, vous devez leur communiquer votre conviction et votre amour. Car la foi et l’amour animent, stimulent, ce sont des forces vivantes.
Devant les difficultés de la vie, celui qui n’a que le savoir reste faible, craintif, chancelant. Tandis que celui qui aime, qui est convaincu, enthousiaste, même sans savoir grand-chose, continue à marcher, il surmonte les obstacles et il entraîne les autres."
Tags : amour, foi, obstacles, force
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Commentaires
Un très bel extrait chang !! Je t'offre ce beau texte, qui va très bien avec le tien. Je te fais de gros bisous, et que l'amour habite toujours le coeur de ta maman.
Si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien
Quand je parlerai les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je ne suis qu’un airain qui raisonne ou une cymbale qui retentit.
Et quand j'aurai le don des prophéties, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurai même toute la foi jusqu'à transporter les montagnes,
Si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien.
L'amour est patient,
" Il est plein de bonté.
L'amour n'est point envieux
L'amour ne se vante point,
Il ne s'enfle pas d’orgueil.
Il ne fait rien de malhonnête,
Il ne cherche point son intérêt,
Il ne s'irrite point,
Il ne soupçonne point le mal.
Il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité.
Il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.
L’amour ne périt jamais.
Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.
Car nous connaissons en partie et nous prophétisons en partie, mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.
Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Lorsque je suis devenu adulte, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant.
Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu.
Maintenant ces trois choses demeures : la foi, l'espérance et l'amour.
Mais la plus grande de ces choses c'est "l'amour".
Saint Paul (Epître aux Corinthiens)